Un spectacle et trois lectures
: avec Peter Turrini, le temps de la consommation qui crée la précarité et met
fin à la lutte des classe ; avec Thomas Köck, le temps des affrontements
religieux et interculturels ; avec Fanny Sorgo, l’ère de la dislocation de la
société dans un monde promis à la perte, et avec Katharina Köller, la
projection dans un futur résolument féministe et individualiste. Double regard
: celui du déjà connu Peter Turrini et ceux de la toute jeune génération qui,
malgré l’éclatante modernité de leur écriture, sont tous les trois ancrés dans
les traditions littéraires et théâtrales, notamment viennoises.