Les gens d’Oz

de Yana Borissova

Traduit du bulgare par Galin Stoev et Sacha Carlson

Avec le soutien de la MAV

Écriture

  • Pays d'origine : Bulgarie
  • Titre original : Хората от Оз
  • Date d'écriture : 2012
  • Date de traduction : 2014

La pièce

  • Genre : comédie dramatique
  • Nombre d'actes et de scènes : 18 tableaux
  • Décors : Living d’Erwin, living d’Anna, une rue.
  • Nombre de personnages :
    • 5 au total
    • 3 homme(s)
    • 2 femme(s)
  • Durée approximative : 1h40
  • Création :
    • Période : avril 2013
    • Lieu : Théâtre 199, Sofia
  • Domaine : protégé

Édition

  • Edité par : Editions Théâtrales
  • Prix : 12.00 €
  • ISBN : 978-2-84260-710-4
  • Année de parution : 2016
  • 84 pages

Résumé

Anna, une écrivain d’une soixantaine d’année, célèbre et respectée, a arrêté d’écrire il y a dix ans, sans raison apparente. Elle s’est alors retirée du monde extérieur, dans un immeuble étrange, presque vivant, qui « regarde et observe ses occupants ». Les autres habitants de l’immeuble ne sont pas moins étranges qu’Anna : il s’agit principalement d’un ex-pianiste un peu fou, d’un jeune riche héritier, d’un hurluberlu amoureux, et d’une belle secrétaire qui rêve de devenir une grande éditrice… Tous ces protagonistes se cherchent, se rencontrent, se côtoient, se racontent, se mentent, se désirent et se redoutent. C’est dans cette constellation relationnelle qu’Anna se remet un jour à écrire, semant chez ses voisins deux irrésistibles questions : de quoi parle ce nouveau livre inattendu, et qui va le publier ? C’est autour de ses deux questions que Yana Borissova tisse la toile de son intrigue, et développe un jeu stratégique émotionnel qui ressemble à une partie d’échec. On y rencontre une lettre anonyme d’un enfant, un dîner tout à la fois excitant et embarrassant, un rendez-vous amoureux, une trahison entre amis, un voisin dérangeant, quelques pages volées du manuscrit, et une question : peut-on être heureux lorsqu’on est amoureux ?

Regard du traducteur

Comme l’explique l’auteur, il s’agit d’une « lettre d’amour sans destinataire, où l’on écrit tout ce que l’on aurait voulu dire aux personnes qu’on aime et qu’on a aimé ».