Wissam Arbache Traducteurs

A traduit 1 ouvrage référencé à la MAV

À propos de Wissam Arbache

Metteur en scène, il a monté entre autres Le Château de Cène de Bernard Noël au Théâtre du Rond-Point à Paris, adapté pour le théâtre en collaboration avec l’auteur. Au CDN de Gennevilliers il met en scène Le Cid de Pierre Corneille. À la maison de la Poésie à Paris, Il crée Murale de Mahmoud Darwich, spectacle bilingue (français, arabe) soutenu par l’auteur. Lauréat de la Villa Médicis hors les murs pour un travail sur le théâtre au moyen orient, il est plusieurs fois invité en résidence d’écriture à Damas et à Beyrouth. À Damas, il met en scène la première création en arabe de Rituel pour une métamorphose, la pièce maîtresse de Saadallah Wannous, grand auteur syrien, spectacle en arabe surtitré en français qui se verra censuré par le pouvoir religieux à Alep. À Beyrouth il commande un texte à un auteur franco-libanais sur l'intimité d'un dictateur qu'il monte avec des acteurs libanais.

Il crée le cycle de soirées « Le Poème, Terre de la langue arabe », pour une anthologie de la poésie arabe à l’Odéon - Théâtre de l’Europe à Paris, cycle pour lequel il commence à traduire de la poésie, puis du théâtre. Très récemment, il a dirigé un numéro spécial sur la littérature syrienne pour la revue littéraire "Missives".

Après avoir collaboré artistiquement a de nombreux opéras au Grand théâtre de Genève et a l'Opéra de Paris entre autres, il a mis en espace La Damnation de Faust de Berlioz au Théâtre du Châtelet et été invité à créer Robert le diable, opéra de Meyerbeer à l'Opéra National de Bulgarie à Sofia.

Plus récemment, il joue dans une trilogie sur la révolution syrienne de Mohammad al Attar mis en scènes par Leyla-Claire Rabih (Marseille, Dijon, production encore en cours). Il a été invité à rejoindre la troupe du Théâtre Populaire Romand cette saison dans le cadre du projet "Les belles complications" où il a joué dans Une Eneide d'après Virgile et Les Aventures de Huckleberry Finn de Mark Twain adapté et mis en scène par Yvan Rhis.